La conciliation des horaires d’étude et des horaires de travail est une réalité pour un nombre croissant de jeunes. D’un côté, travailler pendant ses études peut permettre au jeune de se familiariser avec le marché de l’emploi, de mieux définir ses aspirations scolaires et professionnelles, d’acquérir des compétences et de développer son autonomie ainsi que son sens des responsabilités. Travailler pendant les études peut être bénéfique pour les jeunes, qu’ils soient au secondaire, au collégial ou à l’université. D’un autre côté, le cumul d’activités peut conduire les jeunes plus exposés à d’autres facteurs de risque de décrochage. Si certaines conditions ne sont pas respectées, le cumul des études et du travail peut avoir des retombées négatives non négligeables, incluant une diminution du rendement scolaire, un désengagement à l’égard des études, voire le DÉCROCHAGE SCOLAIRE.
Le nombre d’heures n’est pas le seul facteur à considérer. Mais y a-t-il tout de même un nombre maximal d’heures de travail à respecter? Certaines recherches avancent qu’au-delà du seuil de 20 heures par semaine, les inconvénients pour l’élève ou l’étudiant sont plus importants.
Le nombre d’heures de travail doit varier en fonction de :